Door de opkomst van de elektrische auto is het maar de vraag wie nog het lef toont om een kleine sportwagen te lanceren. Het antwoord komt blijkbaar uit Japan, waar Toyota en Suzuki naar verluidt in het geheim een leuke, compacte sportwagen ontwikkelen. Die zou bovendien aantrekkelijk geprijsd worden. Te mooi om waar te zijn?
Door hun uitstoot en grotere motoren hebben sportwagens de tijdsgeest tegen. Wellicht zullen ze er de komende jaren anders uitzien en wat kleiner worden dan vroeger. De grootte en het gewicht bepalen immers de motor en dus de koolstofvoetafdruk.
Hoop
Hoewel dat prototype elektrisch was, zou de serieversie aangedreven worden door een 1.0- turbobenzinemotor met lichte hybridisatie. Er is sprake van een vermogen van 120 pk. Dat klinkt niet bepaald indrukwekkend, maar met een gewicht van een ton kan de motor misschien wonderen verrichten.
Voor 20.000 euro?
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Un espoir
Cela dit, il subsistera certainement d’irréductibles aficionados. On pense à la Mazda MX-5 de 2026 qui, selon toute vraisemblance, restera thermique (probablement avec une hybridation), mais peut-être aussi à Toyota et Suzuki qui pourraient frapper un grand coup dans les mois qui viennent. D’après certains confrères bien renseignés de Best Car, ces deux marques préparent en secret une nouvelle voiture de sport d’entrée de gamme qui serait basée sur la silhouette du concept-car Sports EV dévoilé fin de l’an dernier. Bref, une autre Miata. Sympa !
En outre, si le modèle d’exposition était bien entendu électrique, il serait question pour la voiture de série d’un bloc essence turbo de 1 litre doté d’une hybridation légère. On évoque une puissance de 120 ch qui n’a pas l’air bien méchante, mais qui, rapportée à la masse de 1 tonne, pourrait faire des merveilles.
À 20.000 euros ?
Si cette sportive voit le jour, l’objectif est de clairement concurrencer la Mazda MX-5 dont le succès et la simplicité ne se démentent pas. Pour y arriver, Toyota et Suzuki miseraient aussi sur un prix d’appel vraiment alléchant estimé pour l’instant entre 2,2 à 2,8 millions de Yens, soit une fourchette allant de 15.000 à 20.000 euros environ. Cette offre pourrait séduire un large public, car il faut se souvenir qu’un MX-5 démarre autour des 30.000 euros. En outre, le poids réduit de ce véhicule pourrait déjouer les pièges de beaucoup de gouvernements visant à décourager l’achat de ce type de voiture. Espérons que les ambitions prêtées à ces deux constructeurs japonais soient vraies…
